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Comme souvent, et bien que nos désirs de situent sur des rivages opposés, je rejoins complètement le propos de LadySpencer.
Si je vous comprends bien, LoupLarsen, il y aurait d'un côté le BD, qui relèverait "des pratiques ludo-sexuelles ayant pour but le plaisir dans l'acceptation de ses fantasmes" et de l'autre le SM, qui serait un "un désordre grave du comportement" nécessitant le recours à un psy (de quel type d'ailleurs, psychiatre, psychologue, psychanalyste ?)
Si je conçois aisément qu'après avoir été confronté au drame du suicide d'une femme aimée, vous soyez marqué par cette tragédie, je ne pense pas, pour ma part, bien que m'assumant comme masochiste, relever de la psychiatrie.
Et je doute que sa manière de vivre sa sexualité ait été la cause unique de la décision tragique de votre amie.
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Il n'est certes pas simple d'assumer des désirs disons "particuliers" mais je ne me sens pas pour autant "déviante" ni engagée dans une relation malsaine avec mon Maître.
Comme beaucoup, je me suis longtemps interrogée sur ce besoin que je portais en moi de vivre ma sexualité différemment des normes habituelles.
Mais, à force de ne pas trouver de réponse à la question du "pourquoi", j'ai fini par m'accepter telle que je suis.
Et je sais aujourd'hui que ma manière de vivre et d'assumer mon "masochisme" avec celui qui est (mais pas seulement) mon Maître a créé entre nous un lien bien plus intense que celui qui unit nombre de couples "vanille" parce que fondé, au delà de ce que nous sommes dans l'intimité, sur le respect absolu de l'autre, la confiance, le plaisir et une complicité à nulle autre pareille.
Alors, non décidément, et bien que ce soit moi qui ai offert à mon Maître le single tail dont il aime à se servir (avec parfois trop de modération) sur moi, je ne ressens pas le besoin de me remettre entre les mains d'un psy :smile:.
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